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le 15 juin 2021Il y a maintenant 12 ans que je vais le bon choix de quitter la France, et avant d’arriver sur mon paradis, j’ai vécu dans deux autres pays. Aujourd’hui, je vis une vie de rêve qui n’a aucun égal et qui n’aurait pas été possible si j’avais décidé de rester enfermé dans la Matrice.
J’ai maintenant la « chance » de pouvoir vivre comme je veux sur une île paradisiaque du Pacifique Sud.
Un endroit magique protégé à tous les niveaux.
Ici pas de virus, moins de touristes à cause des frontières fermées. Ce qui permet d’avoir des relations plus proches avec la population locale.
Des gens exceptionnels, toujours souriants qui remercient la vie à chaque instant, en chantant, en dansant leurs danses traditionnelles, en fabriquant des couronnes et des colliers de fleurs, en cultivant leurs jardins, où tout pousse à une vitesse incroyable.
Comment pourriez-vous préférer une vie de stress, d’anxiété et de dépendance à côté d’une vie de rêve comme celle-ci ?
Le paradis sur terre
Ce matin, par exemple, je suis allé me baigner dans mon lagon, exactement à 30 mètres de ma maison. Quel bonheur de pouvoir nager dans un aquarium géant, avec les poissons multicolores qui viennent autour de moi. Et personne d’autre à l’horizon. Le lagon pour moi seul.
En sortant pour prendre le soleil, j’ai ramassé une jeune noix de coco, que j’ai ouverte pour en déguster le jus. Et juste avant de rentrer dans mon terrain, je suis allé cueillir un fruit de la passion qui pousse naturellement sur ma palissade. Quel bonheur de pouvoir le savourer, en sachant qu’il est totalement bio, qu’il a poussé sans engrais ni produit chimique.
Après avoir pris un brunch rapide, composé d’une salade de papaye verte, d’une mangue et d’une banane, j’ai décidé d’aller marcher jusqu’à la cascade qui coule directement de la montagne et d’aller me rafraîchir dans cette eau pure.
Et revenant, je suis aller prendre un mocktail en assistant à un coucher de soleil magnifique avec les couleurs du ciel flamboyantes et ensuite d’aller dîner dans un restaurant de plage avec des spécialités de poisson grillés au lait de coco et de Umu (un four directement creusé dans la sable, où tous les aliments sont enrobés dans des feuilles de bananiers avant d’être posés sur des pierres de laves chauffées à blanc), dans lequel on fait cuire des patates douces, des poissons, du poulet local.
Après avoir assisté à un spectacle de drums (percussions locales), et avoir terminé la soirée autour d’un Tumunu (un fût creusé dans un tronc de cocotier) en buvant du Homebrew (boisson fermentée à base d’oranges et de papaye) je suis rentré pour une bonne nuit de sommeil réparateur, jusqu’à être réveillé naturellement par les coqs (qui sont en liberté sur toute l’île).
Une vie de rêve saine et sans stress
J’apprécie au quotidien cette vie saine et sans stress, sur une île authentique. Ici pas de feux rouges, un seul rond-point sur toute l’île, pas d‘usines qui crachent de la fumée noire, pas de pollution, air pur, eau pure des montagnes. Aucune insécurité. Une fille peut se promener la nuit dans les rues à 2 heures du matin sans aucun risque. Pas de criminalité. Les délits sont majoritairement des excès de vitesse et conduite en état d’ivresse. Pas d’immeuble non plus car la loi interdit toute construction plus haute que le plus haut cocotier de l’île.
Ça fait rêver. Oui, je vis mon rêve au quotidien, loin de l’effondrement et du chaos que vous être en train de vivre en Occident.
Tout simplement parce que j’ai eu le courage de prendre la bonne décision de sortir de la matrice. Vous pouvez en faire autant. Juste une décision et passer à l’action.
